Quatrième de
couverture
Ce recueil referme le cycle entamé en 2016 avec Une infinie précaution autour du deuil et de la figure maternelle. Derniers mots adressés à la mère défunte, les 34 textes évoquent ce qui s'efface et ce qui reste dans la mémoire : la maison, le jardin, le ponton, la mer, le phare. Ecrits dans un espace en retrait du monde, entre rêve et réalité, ils adressent à l'absente une mélopée fragmentée.