Balivernes ou bobards : dialogues pour la scène : treize à la douzaine

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 119 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915529-34-0
EAN : 9782915529340

Balivernes ou bobards

dialogues pour la scène
treize à la douzaine

de

chez Ed. Librecrit

Collection(s) : L'esprit de sel

Paru le | Broché 119 pages

20.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Balivernes ou Bobards

dialogues pour la scène (treize à la douzaine)

Le livre

12 dialogues + 1 pour faire bon compte entre deux protagonistes qui ont en commun le sens de l'ironie, le goût des joutes verbales et la maîtrise d'une langue, souvent châtiée (Balivernes) mais parfois triviale (Bobards), où l'absurde tient lieu de logique.

Les personnages, Julius et Clotaire, se connaissent ou ne se connaissent pas, s'aiment ou s'opposent... c'est le verbe qui les lie, de goguenardises en sarcasmes, dans une complicité d'esprit qui fait fi du plausible pour moquer à loisir la sottise du monde.

13 dialogues, donc, destinés à la scène comme à la lecture (qui permet de relire pour les mieux déguster) :

Idées noires /
- Tu vas à la pêche ? - Non, je vais à la pêche ! / Les grands malades / Bon appetit, messieurs ! / Médisances / Lieux communs / À bon entendeur... / Bonjour, monsieur... / Comme le temps passe ! / Les bons combats / Grands mots et remèdes / Mirages et... dis, pourquoi ?

Biographie

Benjamin Lambert : né en 1945 à Paris, universitaire, cadre repenti, éditeur, il est surtout écrivain. Romans, essais, textes d'humeur et ouvrages historiques ou documentaires sur la mer et les bateaux, il se partage entre plusieurs genres avec une prédilection pour la littérature sarcastique.
Outre le très satirique « Cycle de la Ville-Pays », vaste fresque ironique de notre monde, et le non moins caustique « Glossaire de Malentendus », il a publié une vingtaine d'ouvrages, sous son nom ou sous pseudonyme. Il offre ici, avec « Balivernes », son premier texte achevé pour la scène. Fidèle à son goût pour la langue et les mots, il a donné au verbe le premier rôle ; fidèle à lui-même, il l'a voulu mordant combat contre la bêtise, sans ignorer que ledit combat est perdu d'avance.