Collection(s) : Memoria momenti
Paru le 09/11/2016 | Relié 223 pages
Public motivé
préface Jean-Claude Bessac
N'oublions pas que la France, après les dévastations de la guerre de Cent Ans, entre dans une grande campagne de reconstruction/restauration. La remise en état d'ouvrages d'art comme les ponts constitue « un préalable indispensable au bon fonctionnement des autres chantiers et au redémarrage de la vie économique et même indirectement sociale de la cité, voire de la région ».
L'étude des comptes de chantier conservés aux archives de la Ville de Cognac permet à Jacques Gaillard d'apporter de nouveaux éclairages sur l'activité du bâtiment à Cognac à la charnière du Moyen Âge et de l'Époque Moderne. Aux documents consultés, il ajoute cette connaissance scientifique du terrain et du travail de la main que ses recherches dans le domaine de l'archéologie lui confèrent.
Max Aubrun,
Conservateur honoraire des Musées de Chauvigny
Fondateur de l'Association Archéologique et Historique Fonzacaise en 1969 - où sont conservées les découvertes de 50 ans de recherches - Jacques Gaillard, après l'obtention d'un doctorat, met au point avec les géologues de l'Université de La Rochelle un protocole original de reconnaissance des calcaires selon la provenance de leur extraction.
Aujourd'hui, il est associé au laboratoire CNRS des Sciences de l'Ingénieur pour l'Environnement de l'Université de La Rochelle (UMR-CNRS 7356 LaSIE).