camps nazis à l'Afghanistan
Quatrième de
couverture
Nous ne connaissions pas la guerre, jusqu'à ce que nos militaires reviennent à la maison. Jusqu'à ce qu'elle vienne hanter leurs nuits de ses cauchemars et emprisonner leur quotidien dans des traumatismes complexes que la médecine cherche encore à comprendre et à prévenir. Gilles Lamontagne connaît bien cette souffrance. Abattu par la chasse nazie en 1943 et retenu prisonnier pendant 2 ans et demi, il sait à quel point le soldat blessé psychologiquement a besoin d'aide au retour.