Serie : Les historiettes
Paru le 10/12/2007 | Cartonné 64 pages
À quoi sert le cromlech du Jardin Public ? Pourquoi n'y-a-t-il pas de Z rue de l'Abbé de l'Epée ? Que font les muses du Grand Théâtre la nuit venue ? Quelle est l'équation mathématique entre un rail de tramway et un pneu de vélo ?
Quelle sera la mission de la Garonne à l'avenir ?
Voici quelques questions, parmi une cinquantaine, que se posent Bast et Matyo.
Les auteurs nous invitent à visiter un Bordeaux "à leur manière"... Au gré de leurs déambulations, soulignant les curiosités auxquelles les passants ne font plus attention, ils nous font redécouvrir la capitale de l'Aquitaine avec humour et parfois force détails scientifiques !
Bandes dessinées, photos inédites, contes et légendes plus ou moins indiscutables composent cet ouvrage, indispensable pour tout bordelais de souche ou de coeur, réalisé avec la complicité d'Étienne Lepeugue, Chloé Bordenave et bien d'autres... Découvrez cette vision iconoclaste de Bordeaux sous le regard bienveillant de la statue des Girondins.
Né en 1974 à Bordeaux, Bast commence très tôt à dessiner sur les murs de la crèche avant d'entrer à Bordeaux III pour se perfectionner. Après un premier album intitulé Entrave, il ne se privera pas d'avancer, bien au contraire puisqu'il réalise une quantité astronomique de dessins pour la com, pour la pédagogie, pour l'Art. Doté d'un arc à mille cordes, il va même jusqu'à créer des fresques murales et illustrer des jeux de société. Devenu prof de dessinologie à l'ESMI, il partage son temps entre les cours et la bande dessinée, sans oublier de poser sur sa ville le regard délicat de l'artiste, sauf quand il cherche une place pour se garer.
Né en 1970, Matyo a choisi les trottoirs de Bordeaux pour apprendre à marcher. Après, il s'est mis à faire de la bande dessinée. Il publie aujourd'hui dans des journaux pour enfants (chez Milan) et aussi dans des journaux pour grandes personnes (Pour la Science). Il illustre également des agendas, des calendriers, et parfois des livres d'astronomie. Pour résumer, on peut dire que Matyo aime bien le dessin minimaliste, les dragibus rouges et regarder sa ville par le petit bout de la lorgnette.
