Cabinet Rouvray, Piotin, Duroy : un regard sur l'architecture et la société : Normandie, 1880-1944

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 135 pages
Poids : 900 g
Dimensions : 24cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-493178-02-2
EAN : 9782493178022

Cabinet Rouvray, Piotin, Duroy

un regard sur l'architecture et la société
Normandie, 1880-1944

de

chez Entresol

Paru le | Broché 135 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Plus aucune trace d'un cabinet d'architecture au 4 rue des Chanoines à Caen ! Et pourtant des milliers de plans ont été dessinés à cette adresse, entre 1880 et 1944 : maisons et immeubles, commerces, écoles, mairies... et même des églises.

Le cabinet Rouvray, Piotin, Duroy célèbre en son temps, est alors le plus gros cabinet d'architecture de Caen, avec une activité continue durant plus de soixante ans, et plusieurs générations d'architectes qui s'y succèdent. Le cabinet est à la fois une histoire de famille, un lieu de vie et de travail.

Mêlant architecture du quotidien et grande architecture, monuments, le cabinet travaille pour des commanditaires privés (particuliers et église...) et publics (communes), dans le Calvados et au-delà.

L'histoire du cabinet nous raconte le métier d'architecte et ses évolutions, nous raconte la fabrique de la ville et plus largement nous parle de la société.

[Ce livre] est un petit morceau d'histoire concernant la ville de Caen, ses alentours et plus, ainsi que l'évolution de la population et de sa mentalité. Mon grand père y a sa place, comme passionné de son art, grand travailleur, mais transparent en tant qu'homme. Mon père, lui-même, disait qu'il ne le connaissait pas ; les deux étant peu communicatifs. Je sais que son travail, ou son art, lui prenait tout son temps et il ne s'est jamais occupé d'en faire fortune.

Malgré tout le travail accompli, son oeuvre étant abondante et reconnue en son temps, il serait totalement tombé aux oubliettes si M. Hérouard ne l'en avait pas tiré. L'ayant quelquefois mentionné auprès de personnes intéressées par Ouistreham et son patrimoine, je voyais bien que seul le Débarquement et sa valeur touristique avaient quelque écho... Donc merci à Florent Hérouard pour que mon grand-père n'ait pas été une deuxième fois enfoui par le 6 juin 1944.
Huguette Duroy