Captain America. Vol. 1

Fiche technique

Format : Relié
Poids : 2358 g
Dimensions : 19cm X 29cm
Date de parution :
ISBN : 979-10-391-1443-1
EAN : 9791039114431

Captain America. Vol. 1

de

chez Panini comics

Serie : Captain America. Vol 1

Collection(s) : Marvel

Paru le | Relié

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Quatrième de couverture

La vie d'une légende, la mort d'un rêve

Dans ce premier volume des aventures de Captain America d'Ed Brubaker(Velvet, Too Old to Die Young), découvrez l'histoire qui a bouleversé les lecteurs du monde entier et tout l'univers Marvel en 2006 : la mort de la Légende Vivante. Vous assisterez également au retour du frère d'armes de Cap, Bucky Barnes, alias le Soldat de l'Hiver, à la vie et à la mort de Crâne Rouge, le plus grand ennemi de la Sentinelle de la Liberté, ainsi qu'à l'émergence d'une nouvelle menace : le général Aleksander Lukin, chef de l'une des entreprises les plus puissantes au monde.

Ce volume contient les épisodes Captain America (2004) 1 à 25, Captain America 65th Anniversary (2006) 1 et Winter Soldier : Winter Kills (2006) 1.

Un héros blanc, rouge, bleu... et noir.

Captain America n'est pas un personnage facile à écrire. Si les auteurs commencent par regarder les couleurs de son costume, ils finissent toujours par s'éloigner de leur symbolique en inventant des récits qui, paradoxalement, se révèlent toujours trop progressistes. La solution idéale adoptée par les créateurs consiste donc à partir d'une histoire super-héroïque ou d'une aventure à la James Bond pour aborder, de temps en temps, une question politique de façon « légère ». Un travail complexe, surtout quand le rédacteur du moment choisit de mettre le personnage entre les mains d'artistes qui ne le suivent pas depuis leur plus tendre enfance. Pour les plus jeunes, Captain America véhicule en effet l'image d'un chevalier sans peur et sans défauts, arborant les couleurs de sa patrie ou, s'ils ne sont pas Américains, d'une nation capable de grandes choses. Mais confiez ce héros à un auteur d'une autre génération et celui-ci finira par créer des histoires surtout pour critiquer la politique américaine.

À la fin de l'année 2004, quand sort le premier épisode Captain America écrit par Ed Brubaker, personne, pas même le plus passionné des lecteurs de Marvel ou le plus enthousiaste des fans de l'écrivain américain, ne peut imaginer ce qu'il va se passer dans les mois suivants. Ni combien les événements à venir vont changer, non seulement l'histoire de la Légende Vivante, mais aussi l'ensemble de l'univers de la Maison des Idées. Brubaker vient alors de quitter DC Comics, où il s'était occupé de séries comme Batman, Catwoman et Gotham Central (qu'il a imaginée avec Greg Rucka). Il jouit déjà d'une certaine réputation, mais ce qu'il s'apprête à faire dans les pages de Captain America va le catapulter au panthéon des scénaristes de comics. Brubaker réalise une chose qui était normalement interdite chez Marvel, mais il le fait avec un style précis, fascinant et sans détour. Et ce n'est que le début, car même le retour critiqué du défunt Bucky n'est que la partie émergée de l'iceberg... Il faut en effet s'attendre à d'incroyables événements, coups de théâtre, trahisons et mille autres pépites reprises dans le Marvel Cinematic Universe. Dans les histoires de ce volume, Lukin, général corrompu, rencontre Crâne Rouge au sujet d'affaires aussi illégales que dangereuses. Elles entraîneront un changement radical dans la vie des deux criminels, mais aussi dans celle de Cap. Entre les souvenirs d'une guerre lointaine, mais jamais oubliée, un rapport compliqué avec Nick Fury et le S.H.I.E.L.D., des ennemis implacables, le très puissant Cube Cosmique et un homicide inexplicable, Captain America n'aura pas le temps de souffler.

Biographie

Ed Brubaker débute comme scénariste de bandes dessinées policières avant de poursuivre sa carrière chez DC Comics, où il publie des travaux reconnus sur Gotham Central et Sleeper, ainsi qu'un long cycle de Catwoman accompagné au dessin par le regretté Darwyn Cooke. Arrivé en 2004 chez Marvel, il transforme Captain America en un titre à succès. Il reprend les rênes de Daredevil après Brian Michael Bendis et rend le litre encore plus populaire qu'il ne l'était, puis il écrit deux mini-séries dont X-Men : Deadly Genesis, qui lui ouvrent les portes de la série Uncanny X-Men. Son travail sur les comics est tellement remarqué qu'il a reçu pas moins de sept Eisner Awards. À partir de 2007, l'écrivain délaisse les bandes dessinées de super-héros pour revenir à son grand amour, le polar, avec des séries comme Criminal, Incognito, Fatale et Velvet.

Steve Epting est dessinateur professionnel depuis plus de trente ans. Au début des années 1990, il se fait connaître grâce à une intrigue ; clé d'Avengers, Bloodties, au cours de laquelle les Avengers affrontent les X-Men. Les dessins d'Epting font également partie intégrante du célèbre événement Ag of Apocalypse, contribuant ainsi à créer une version alternative de l'équipe mutante X-Factor. Il s'occupe ensuite des illustrations de Cruz et El Cazador pour CrossGen Comics, avant de revenir chez Marvel pour travailler de façon régulière sur Captain America, puis sur The Marvels Project, Fantastic Four et New Avengers.

Passionné de bande dessinée depuis sa plus tendre enfance, Mike Perkins obtient son diplôme au Bournville College of Art et commence une carrière professionnelle en Grande-Bretagne en 1995 grâce à l'agence Temple Rogers. Après ses débuts sur des publications de la maison d'édition 2000 AD comme Judge Dredd et différentes missions en tant qu'illustrateur, il est remarqué par CrossGen qui lui demande de venir s'installer en Floride et de mettre en images des titres comme Ruse et Kiss Kiss Bang Bang, créés en collaboration avec l'écrivain Tony Bedard. Après la faillite de la maison d'édition, Perkins est embauché par Marvel qui lui confie non seulement des titres de super-héros, mais aussi l'adaptation du Fléau de Stephen King. Depuis 2018, il travaille chez DC Comics sur des séries comme Swamp Thing et Nightwing.

Lee Weeks décide de devenir dessinateur après un terrible accident de voiture. Il raconte en effet dans ses interviews qu'après avoir échappé de peu à la mort, la première chose qu'il a demandée à son père a été un crayon : il s'était rendu compte que son plus grand rêve était de faire de son loisir son travail. Après avoir fréquenté la Joe Kubert Art School, il décroche un premier contrat chez Marvel en 1986 pour dessiner les histoires de « l'implacable » Remo Williams. Puis, grâce à un cycle sur Daredevil qui atteint son apogée avec la chute (provisoire) du Caïd, il est remarqué par les fans et la critique. Par la suite, il associe son nom à celui du Tisseur en s'occupant de séries telles que Spider-Man : Death and Destiny sur laquelle il démontre également ses talents de scénariste.

Du même auteur : Ed Brubaker