Carnets. Vol. 2. Revêtir le sacerdoce : 2 février 1942- 8 juillet 1942

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 673 pages
Poids : 776 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-204-09355-2
EAN : 9782204093552

Revêtir le sacerdoce

2 février 1942- 8 juillet 1942

de

chez Cerf

Serie : Carnets. Vol 2

Collection(s) : Intimité du christianisme

Paru le | Broché 673 pages

Tout public

44.00 Indisponible

édition préparée, introduite et annotée par Christiane Schmitt et Eric T. de Clermont-Tonnerre | avec la collaboration de Jean-Christophe De Nadaï


Quatrième de couverture

Marie de la trinité

Carnets

II. Revêtir le sacerdoce (2 février - 8 juillet 1942)

Les Carnets de soeur Marie de la Trinité constituent une oeuvre monumentale et très originale. Au début de sa vie religieuse, Marie de la Trinité reçoit, dans l'oraison, plusieurs grâces importantes, ainsi que des lumières et paroles, qu'avec l'accord de son directeur spirituel elle consigne entre 1941 et 1946 dans 3250 pages manuscrites de 35 carnets. Ces pages denses font entrer le lecteur dans l'étonnante expérience mystique qui a pour lieu le sein du Père et font écho à la longue réflexion théologique sur le mystère, autour de deux thèmes dominants : la filiation et le sacerdoce, celui du Christ, celui du baptisé, et celui du prêtre. Le théologien Hans Urs von Balthasar écrivait en 1988, peu avant sa mort : « Marie de la Trinité a beaucoup influencé ma pensée. Un vrai tournant. »

L'édition de l'intégralité des Carnets est donnée en cinq tomes. Le premier tome s'ouvrait sur l'expérience initiale, la grâce du 11 août 1929, et parcourait la période où Marie de la Trinité reçut ce que l'on peut appeler « les grandes grâces ».

Ce deuxième tome, qui donne le contenu des carnets 6 à 13, couvre une période qui fut pour Marie la plus heureuse de son existence, étant déchargée de la lourde fonction de maîtresse des novices et pouvant alors se consacrer profondément à l'oraison.

Biographie

Née en 1903, entrée chez les Dominicaines missionnaires des campagnes à vingt-sept ans, Paule de Mulatier (Marie de la Trinité) prend une part très active, comme assistante générale et maîtresse des novices, dans l'expansion de cette congrégation. En 1946, elle sombre dans une profonde « dépression » et cherche opiniâtrement la guérison auprès de nombreux médecins, dont Jacques Lacan. Guérie de ce qu'elle appellera « l'épreuve de Job », elle entreprend une formation de psychothérapeute pour réfléchir aux problèmes psychiques touchant la vie religieuse. Durant les dix dernières années de sa vie après le départ des soeurs, elle assure, seule, à Flavigny (Côte-d'Or), une présence dominicaine où elle peut enfin harmoniser vie active et vie contemplative. Elle meurt le 21 novembre 1980.

Du même auteur : Marie de la Trinité