Ce que nos filles ont à nous dire : la première génération post #MeToo

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 204 pages
Poids : 252 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 979-10-92636-44-4
EAN : 9791092636444

Ce que nos filles ont à nous dire

la première génération post #MeToo

de

chez Les Editions de la Mer salée

Collection(s) : Essais

Paru le | Broché 204 pages

Tout public

20.00 En stock dans notre réseau
Ajouter au panier

préface de Maïwen Petton | postface d'Alexandra Benhamou


Quatrième de couverture

Ce que nos filles ont à nous dire

« Dans la rue, j'ai l'impression d'être une proie ». Combien de temps encore Marie, 18 ans, devra-t-elle garder ses écouteurs et marcher d'un pas rapide en rentrant le soir ? Combien de temps encore, Léa 13 ans, devra-t-elle penser aux remarques, aux regards, quand elle s'habille le matin ? En ville comme à la campagne, aucune n'y échappe. L'insouciance et la spontanéité leur sont étrangères. Elles se sentent jugées sur tout, dans la rue comme sur les réseaux sociaux.

Elles avaient entre 9 et 15 ans quand Me too a libéré la parole. Ce qui était ignoré, accepté, elles ne le tolèrent plus, mais continuent à le subir. C'est la première génération qui s'attaque aux racines des violences et des injustices. Celle qui bouscule le genre, la féminité, convoite de nouveaux métiers. C'est aussi la génération Climat, lucide, celle qui s'impatiente et revendique.

Ce que nos filles nous disent est à la fois terrible et porteur d'espoir. Ce livre révèle leur finesse d'analyse, leur indignation et leur bienveillance, leur audace, en un mot leur maturité. Si nous les écoutons, les soutenons, elles peuvent changer la société en profondeur.

Biographie

Florence Pagneux est journaliste pour le quotidien La Croix et la presse jeunesse. En repartant du questionnaire auxfillesdutemps, auquel plus de 800 jeunes filles de 13 à 20 ans ont répondu, elle enquête sur ce qu'une société ne peut plus ni ignorer ni permettre.