Ce que philosopher veut dire... : contribution au débat sur l'origine et sur l'identité de la pensée africaine

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 85 pages
Poids : 170 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35349-049-3
EAN : 9782353490493

Ce que philosopher veut dire...

contribution au débat sur l'origine et sur l'identité de la pensée africaine

de

chez Menaibuc

Collection(s) : Théorie politique

Paru le | Broché 85 pages

Public motivé

12.17 Indisponible

préface Jean-Philippe Omotunde


Quatrième de couverture

Qu'est ce que la philosophie et que vaut-elle comme savoir ? Telle est la question qui mérite d'être posée, contre ceux qui accusent la pensée africaine d'être anti-philosophique et anti-scientifique.

Les Africains doivent-ils revendiquer aujourd'hui la paternité de la philosophie au motif que ce genre culturel est né en Egypte ancienne et que les philosophes grecs de l'Antiquité qui pour les Occidentaux contemporains seraient les seuls inventeurs de la philosophie, ne sont pour nous que de vulgaires copistes ?

La philosophie telle qu'elle se pratique de nos jours, n'a plus rien à voir avec son étymologie bien connue : Amour de la sagesse ; ni avec la philosophie originelle : la MAAT, qui est une véritable science du perfectionnement de l'être.

Mais les idées fausses ayant tendance à avoir une durée de vie inquiétante, Jean-Pierre Kaya s'est autorisé à revenir sur ce que philosopher veut dire... et la question de savoir si oui ou non la culture africaine est capable d'engendrer l'esprit philosophique et l'esprit scientifique, pour y apporter une réponse décisive.

Bonne lecture

Imhotep Mezepo

Biographie

Jean-Pierre Kaya est né au Congo-Brazzaville. En 1981, il entre à la Faculté des Lettres et sciences humaines de l'Université Marien Ngouabi de Brazzaville, au département d'Histoire. Après sa licence en 1984, il part poursuivre ses études en France, où il suit plusieurs cursus : diplomatie, science politique, droit, histoire, anthropologie... À la fin de ses études, il enseigne d'abord à l'Ecole nationale de la Magistrature à Paris. Puis, en 2è et 3è cycles à la Sorbonne, à l'Université de Paris I, où il fut également chercheur au Laboratoire d'Anthropologie Juridique de Paris (LAJP) fondé par le Recteur Michel Alliot en 1965.