Paru le 19/08/2015 | Broché 308 pages
1944, pendant l'Occupation. Les Français vivent désormais dans l'espoir d'un débarquement allié et l'inquiétude gagne l'armée allemande, accentuant les crispations et les duretés perpétrées contre la population française.
Maximilian von Wreden, officier du Renseignement allemand, est en poste à Paris depuis quelques mois quand il rencontre Marianne, une étudiante en philosophie de vingt et un ans. Sa peau est douce, ses lèvres sont tendres, elle réussit à apaiser ses démons intérieurs.
Ce que Maximilian ne sait pas, c'est que la jeune femme travaille en réalité pour un réseau de résistants. Elle a volontairement été jetée dans la gueule du loup pour le séduire et lui soutirer des informations sensibles. Pour elle, il est d'abord l'homme à abattre. Mais pas seulement...
Agrégée de lettres et de langues anciennes, Carole Declercq est enseignante. Avec «Ce qui ne nous tue pas...» elle signe un premier roman d'une plume brillante et intimiste.