Cent coups de sang d'Ernestine : dictionnaire biographique

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 215 pages
Poids : 512 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-909051-42-0
EAN : 9782909051420

Cent coups de sang d'Ernestine

dictionnaire biographique

de ,

chez le Polygraphe

Paru le | Relié 215 pages

18.00 Indisponible

Ernestine Chasseboeuf | illustrations Émilie Harel


Quatrième de couverture

Le « bestoffe » des lettres d'Ernestine !

Pour fêter les cent ans d'Ernestine (1910- ?), voici une anthologie de lettres de la « vieille dame indignée », comme l'appelait affectueusement Télérama. De 1999 à 2005, Ernestine a adressé plusieurs centaines de lettres sur des sujets qui la tracassaient : de l'art d'obtenir la carafe promotionnelle sans acheter le fromage (elle craint d'attraper la « mystériose ») à la guerre du Kosovo ; de la recette des Petits Lu 100 % pur beurre aux avions de chasse qui empêchent ses poules de couver ; des livres de poche mal collés à ses premiers essais de poésie rustique...

Nous publions également certaines réponses reçues par Ernestine.

Véritable star de la littérature épistolaire, Ernestine a été adaptée en 2006 au théâtre par la compagnie Métis. Sollicitée par Jean Lebrun, elle lui confiera des lettres à lire dans son émission de France-Culture.

La presse en a parlé

« Sa plume s'envole [...] avec toujours cet envoi final, qui cingle comme le Z de Zorro : " ... et j'espère que ma lettre vous trouvera de même ". » Télérama.

« Coutures voit débarquer des admirateurs de toute la France, qui cherchent, sinon à l'approcher - elle est insaisissable -, du moins à humer une atmosphère et des lieux qu'elle campe à merveille dans sa correspondance. » La Vie.

« De l'humour railleur et mordant, qu'on ne tolérerait pas d'un gamin mais qu'on pardonne (en riant jaune) lorsqu'il vient d'une grand-mère irrévérencieuse. » Le Courrier de l'Ouest.

Biographie

Née Troispoux à Botz-en-Mauges au début du siècle dernier, Ernestine a longtemps vécu à Coutures (Maine-et-Loire), dans un troglodyte, ce qui lui a permis d'échapper à la canicule de 2003. Lectrice assidue du bibliobus, elle a lancé en 2000 une grande campagne contre le prêt payant en bibliothèque (La Brouette et les Deux Orphelines, Davy/Deleatur) et écrit des centaines d'autres lettres qui ont été réunies dans trois volumes : Ernestine écrit partout (Ginkgo). En 2006, elle a disparu.