Chaminadour : contes, nouvelles et récits

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 1534 pages
Poids : 1114 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782070777167

Chaminadour

contes, nouvelles et récits

de

- La jeunesse de Théophile
- Les Pincengrain
- Les Thérébinthe
- Prudence Hautechaume
- Ximénès Malinjoude
- Le parricide imaginaire
- Le journal du coiffeur
- Tite-le-long
- Binche-Ana
- Le saladier
- L'arbre de visages
- L'oncle Henri
- Les funérailles d'Adonis
- Un monde
- Cocu, pendu et content
- Descente aux enfers

chez Gallimard

Collection(s) : Quarto

Paru le | Broché 1534 pages

Poche
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préface Richard Millet


Quatrième de couverture

«Tous mes recueils de Contes, même ceux qui n'en portent pas le nom, nous découvrent Chaminadour, en y comprenant Les Térébinthe, Tite-le-Long, Le Saladier, jusqu'à L'Arbre de visages. Presque tous, quelques-uns plus particulièrement, composent une suite à La Jeunesse de Théophile.»

Marcel Jouhandeau, Essai sur moi-même, 1941.

Ce volume contient (1921-1961) : La Jeunesse de Théophile Les Pincengrain Les Térébinthe Prudence Hautechaume Ximénès Malinjoude Le Parricide imaginaire Le Journal du coiffeur Tite-le-Long Binche-Ana Chaminadour Chaminadour II Le Saladier L'Arbre de visages L'Oncle Henri Les Funérailles d'Adonis Un monde (IIe partie) Cocu, pendu et content (IIe partie) Descente aux enfers

«Vie et oeuvre» illustré de photographies et de pages des albums composés et légendés par Marcel Jouhandeau

Ouvrage dirigé et préfacé par Richard Millet

Édition établie par Antoine Jaccottet

«Chaminadour, c'est la vie spectrale et irradiée, il y a cent ans, d'une grise petite ville peuplée d'artisans, de fonctionnaires et de ruraux. Chaminadour est un "arbre de visages". Un bouquet d'âmes pures, un roncier d'âmes damnées, un foisonnement de faits et gestes cocasses ou tragiques, éclatants, infâmes, arrachés au secret.

"J'ai besoin des passions, des mains jaunes, des coeurs rouges de Chaminadour", disait magnifiquement René Crevel. Nous en avons plus que jamais besoin, nous qui, en une époque morose, déprimée, désenchantée, demandons à la littérature non pas de nous divertir mais de nous délivrer des pesanteurs sociales, de nous rendre la mémoire des siècles, de nous donner la pleine mesure de l'homme sans le discours humaniste, affadi ou psychologisant, et de nous émerveiller dans le pire.»

Richard Millet, «Une figure de l'enfer», préface.

Du même auteur : Marcel Jouhandeau