Charles-Hélion marquis de Barbançois-Villegongis (1760-1822) : un noble éclairé du Bas-Berry, agronome, amateur de science et de philosophie

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 110 pages
Poids : 160 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-296-03629-1
EAN : 9782296036291

Charles-Hélion marquis de Barbançois-Villegongis (1760-1822)

un noble éclairé du Bas-Berry, agronome, amateur de science et de philosophie

de

chez L'Harmattan

Collection(s) : Logiques historiques

Paru le | Broché 110 pages

Public motivé

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Quatrième de couverture

Charles-Hélion

Marquis de Barbançois-Villegongis (1760-1822)

Charles-Hélion, deuxième marquis de Barbançois-Villegongis appartenait à une famille de noblesse ancienne qui pouvait s'enorgueillir d'alliances illustres. Son père, Léon-François, propriétaire de l'un des plus beaux châteaux du Berry, avait été l'un des pionniers de l'introduction du bélier mérinos dans le royaume de France.

Riche et cultivé, partageant son temps entre sa terre et le milieu intellectuel parisien, il aurait souhaité se faire un nom dans le monde des sciences et dans celui de la philosophie.

Mais, accaparé par la gestion et l'agrandissement de son domaine, sans doute un peu malgré lui, il a été conduit à s'impliquer profondément dans le monde de l'agriculture. En 1801, Président-fondateur de la Société libre d'Agriculture, Commerce et Arts du Département de l'Inde, devenue très vite Société d'Agriculture de l'Indre, il s'est révélé être un agronome compétent, soucieux de faire progresser les techniques agricoles et d'élever le niveau des connaissances des propriétaires fonciers de son temps, mais aussi de ceux qui cultivaient directement la terre. Sa vie nous offre un exemple d'un gentilhomme-cultivateur, héritier de Duhamel du Monceau et de l'École des physiocrates, introducteur de la grande Révolution verte du XIXe siècle.

Biographie

Claude Hartmann est agrégé de l'Université. Ancien élève de l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud, il est titulaire d'un Doctorat d'État et, après un passage au CNRS, a enseigné la botanique et la physiologie végétale à l'Université d'Orléans de 1967 à 2000. Il peut enfin consacrer son temps libre à sa passion pour l'histoire, particulièrement celle des sciences du végétal à la fin du Siècle des Lumières.