Cher Picaro : journal des années cinquante

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 548 pages
Poids : 684 g
Dimensions : 16cm X 23cm
Date de parution :
EAN : 9782825118245

Cher Picaro

journal des années cinquante

de

chez Age d'homme

Collection(s) : Au coeur du monde

Paru le | Broché 548 pages

30.00 Indisponible

postface Rémi Soulié


Quatrième de couverture

Les années 50 de Jacques d'Arribehaude : les amis, les écrivains, les éditeurs... et puis les femmes. Et puis les livres ! De Paris à Saigon, de Tanger à Bayonne, d'Arribehaude promène son regard aigu et magnanime, sa vivacité, son appétit de découvertes et de lectures. Entre le milieu gravitant autour de Roland Laudenbach et la Table Ronde, et la touffeur des exils en Afrique équatoriale française, le Journal trace, sans cesse, de vivants traits d'union : les lettres, les souvenirs, les lectures ! Lire la prose de d'Arribehaude, en tous sens et sans projet, est un délice. La lire comme un témoignage d'époque est un moyen de connaissance. Débouchant, à la fin, sur une discrète sagesse.

Ce journal est d'un homme libre. Libre devant les intimidations du siècle comme devant celle des mantes religieuses et des benêts pâmés. Libre comme on a désappris à l'être aujourd'hui ; en esprit fort et en vivant magnifique. Jacques d'Arribehaude défie et nargue (...) Avec cela, pour accompagner ses morceaux de bravoure, les affermir et les exprimer à la perfection une langue superbe, d'une abondance et d'une diversité qui donnent le vertige. Un grand écrivain méconnu à découvrir. A découvrir pour l'admirer en happy few. Pol Vandromme.

Jacques d'Arribehaude a le «style» de ceux qui transforment la vie en roman. Et le culot des esprits rares. Jérôme Garcin.

Une manière de conte stendhalien où la fascination de l'Afrique remplacerait celle de l'Italie. Catherine Clément.

C'est une lecture qui enchante dans son désenchantement, mais dans le désenchantement la vitalité reste la plus forte. Avec mes tripes de gauche, je constate, dans ma jubilation, à quel point la communauté des sensibilités est plus forte que la communauté des idées. Edgard Morin.

Du même auteur : Jacques d' Arribehaude