traduit de l'anglais (Irlande) par Jim Foulkes, Jean Portante | avec des illustrations de Tony O'Malley
Quatrième de
couverture
Chaque vers est, chez ce poète irlandais, une caresse triste, dans un monde qui ne croit plus aux légendes alors que le poète n'a plus qu'elles. L'écriture n'en devient que plus désireuse d'esprit, nostalgique des cris divins poussés dans les rues affamées des villes de la fin du siècle. Le poème, son rythme et sa musicalité deviennent aussi de magiques signaux d'hypnose.