Chroniques du racisme ordinaire au XIXe siècle

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 159 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35660-038-7
EAN : 9782356600387

Chroniques du racisme ordinaire au XIXe siècle

chez Pimientos

Collection(s) : Récits et témoignages d'écrivains-voyageurs au XIXe siècle

Paru le | Broché 159 pages

15.00 Indisponible

Quatrième de couverture

L'objet du livre ? - Prendre la mesure de la pensée raciste dans la littérature française. L'incroyable de l'affaire ? - L'étendue des dégâts !

¤ La haine du Juif comme de l'Anglais doit être notre premier article de foi politique.
Pierre-Joseph Proudhon

¤ Un gros nègre du Congo dont le visage, dans toute l'exagération de la laideur de la race, offrait l'expression de la plus complète stupidité...
Alexandre Dumas

¤ Quoiqu'il fût Juif d'origine, il se faisait mahométan dans les provinces mahométanes, [...] chrétien au besoin en face d'un catholique [...]
- On ne t'écorchera pas ! Ta peau n'en vaut pas la peine !
Jules Verne

¤ Sauvé, sauvé ! Paris était au pouvoir des nègres !
Alphonse Daudet

¤ Il se passe une chose curieuse : aussitôt que vous achats se ralentissent, l'amabilité baveuse du youtre se renfrogne.

¤ Si la famille Rothschild n'est pas habillée en jaune, nous serons très prochainement, nous chrétiens, domestiqués, ilotisés, réduits en servitude.
Jules de Goncourt

¤ Il exprimait ainsi ses conclusions : - Toi tout à fait même chose comme singe !...
Et Fatou très vexée : - Ah ! Jean ! Toi n'y a pas dire ça, mon blanc ! D'abord, singe, lui, n'y a pas connaît manière pour parler, - et moi connais très bien !
Alors Fritz Muller partit d'un grand éclat de rire.

¤ Les visages, qui se détournent à demi pour nous examiner, sont presque tous d'une laideur spéciale, d'une laideur à donner le frisson. [...] Pour un peu on pleurerait avec eux, - si ce n'étaient des Juifs, et si on ne se sentait le coeur étrangement glacé par toutes leurs abjectes figures.
Pierre Loti

¤ On n'aime point les femmes de ce continent primitif.
Guy de Maupassant

¤ Devant Dieu, toutes les âmes sont blanches.
Victor Hugo