Chroniques patoises d'un curé de campagne : Val de Saire, Basse-Normandie, 1928-1938 : textes et traduction

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 285 pages
Poids : 200 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
EAN : 9782847061079

Chroniques patoises d'un curé de campagne

Val de Saire, Basse-Normandie, 1928-1938
textes et traduction

de

chez C. Corlet

Paru le | Broché 285 pages

Tout public

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textes présentés et trad. par René Lepelley


Quatrième de couverture

Né et mort à Barfleur (Manche, 1889-1970), l'abbé Charles Lepeley a été curé, pendant plus de vingt-cinq ans, de trois petites paroisses rurales du Val de Saire: Valcanville, Sainte-Geneviève et Le Vicel. Jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale, il a fait paraître chaque mois un «bulletin paroissial» destiné au millier d'habitants de ces trois communes. Or, dans la plupart de ces bulletins, était inséré un texte en patois que les abonnés lisaient avec beaucoup d'intérêt, heureux de voir que leur curé, qui était d'ailleurs un érudit, savait aussi écrire pour eux, dans leur langage familier, des histoires mettant en scène un monde plein de vie, avec ses qualités et ses défauts, ses gens et leurs habitudes. Vu les évolutions constatées dans le monde rural depuis la Seconde Guerre mondiale, ces chroniques écrites sur le vif, et avec sympathie, pour des gens simples constituent un témoignage fidèle, non seulement des façons de parler des paysans d'un terroir normand, mais aussi de leurs façons de vivre.

Et c'est bien ce langage et ces traditions que le lecteur d'aujourd'hui pourra trouver ou retrouver dans les extraits publiés dans le présent recueil, d'autant que ceux-ci sont présentés à la fois dans leur texte original et en traduction française.

Biographie

René Lepelley (sans parenté avec l'auteur des chroniques) a été professeur de linguistique française et de dialectologie normande à l'Université de Caen. Auteur d'une thèse de doctorat d'Etat consacrée au Parler normand du Val de Saire, il a bien connu Charles Lepeley auquel l'unissait un même intérêt pour les patois de Normandie.