Chroniques taurines

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 93 pages
Poids : 138 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-916749-19-8
EAN : 9782916749198

Chroniques taurines

de

chez les Fondeurs de briques

Collection(s) : Sacrilège

Paru le | Broché 93 pages

Tout public

14.20 Disponible - Expédié sous 4 jours ouvrés
Ajouter au panier

traduit de l'espagnol par Virginie Girard | présenté par François Bruschet


Quatrième de couverture

« Nous n'étions pas amis, car Joaquín n'avait pas de relation avec les toreros, mais il m'a interviewé plusieurs fois pour son journal. J'ai fait connaissance avec un homme très cultivé, très bon aficionado, toujours agréable et très respectueux des autres. Il défendait dans ses chroniques ce que doit être le toreo authentique et était toujours sincère. J'étais un fervent admirateur de ses écrits, parce que j'aime les écrivains taurins qui offrent des garanties. Et Joaquín me les offrait toutes. »
Curro Romero

Composée de vingt-deux articles (1981-1999), cette première anthologie en français présente ce journaliste d'exception que fut Joaquín Vidal.

Depuis son siège des arènes de Madrid (tendido bas 10, rang 6, place 17) ou pendant les ferias de Pampelune ou de Valence, il composa, grâce à la rigueur de son point de vue et à l'élégance ironique de son style, plus que de simples comptes rendus des courses. Quelquefois, le spectacle de la piste n'obtenait même que la portion congrue (Les Rois de la claque et L'esprit du gradin 8 reste vivace à propos du public ; Reste encore à le raconter sur la condition de journaliste taurin...).

Si, dans le monde de la critique taurine, il se situait clairement du côté de la critique (Ici sévit une mafia), il ne ménageait pas ses enthousiasmes lors des rares occasions où taureau de combat et véritable torero se rencontraient.

Biographie

Joaquín Vidal (1935-2002) fut pendant vingt-six années le chroniqueur taurin du quotidien El País. Plume parfois enthousiaste, souvent acérée, toujours percutante et irrémédiablement indépendante, il s'attira l'inimitié de nombreux professionnels du monde des taureaux. Dans sa recherche constante de la vérité dans la fiesta nacional espagnole, son honnêteté en fit la référence du genre. Il fut admiré par José Bergamín ou Eduardo Arroyo (« La plume la plus brillante du monde de la tauromachie ») et respecté par les toreros de verdad (Antoñete, Curro Romero, Luis Francisco Esplá...).