Paru le 04/02/2021 | Broché 173 pages
Agnès Sorel, première favorite « officielle » d'un roi de France est morte il y 570 ans. On sait aujourd'hui, grâce au paléopathologiste Philippe Charlier, quelle fut bien empoisonnée. De cet empoisonnement, le dauphin, futur Louis XI, fut accusé par son père Charles VII avec lequel il était en très mauvais termes.
« Cinnabaris, la mort rouge » suit pas à pas les aventures du jeune baron de Morimont, mandaté par le dauphin pour identifier l'empoisonneur. Les indices sont maigres et discordants, les suspects nombreux et les pièges, les embuscades et les faux-semblants partout présents sur cette terre dévastée par la guerre de cent ans. Escorté de ses gens d'arme et avec l'aide de son épouse Mélusine, du sage Cornélius, du tortueux Bische et du visionnaire Tiffauges, le baron Matthias parviendra finalement à ses fins et démasquera l'auteur de l'empoisonnement. Mais il en sera pour ses frais...
Un « road movie » à travers la France du XVe siècle.
Journaliste de presse écrite en retraite, Francis Schull a notamment travaillé à l'Aurore, à Témoignage chrétien, au Journal du Dimanche, à l'Agence centrale de presse et à Globe après avoir débuté aux Dernières Nouvelles d'Alsace, à Colmar. Tout à tour reporter, grand reporter et rédacteur en chef, il a touché à presque tous les domaines du journalisme, du fait divers au cinéma en passant par les sports et la télévision. Polygraphe, il a aussi bien réalisé des journaux professionnels pour le compte de l'agence Euro RSCG que des guides (Paris Pas Cher). Il a enfin terminé sa carrière en devenant directeur des études du Centre de Formation des journalistes, à Paris.
Depuis qu'il est à la retraite, il a publié « Desproges bande encore » (2016 ed. Les Echappés), « La valse magique des aiguilles » (2018 ed. Tré-daniel) et « Vengeances tardives » (2019 City ed.)
