Collection(s) : Documents et essais
Paru le 19/03/2014
lu par l'auteur | préambule écrit et lu par Jean Mouttapa
Comme ses Cinq méditations sur la beauté, ce texte de François Cheng est né d'échanges avec ses amis, auxquels le lecteur est invité à devenir partie prenante. Il entendra ainsi le poète, au soir de sa vie, s'exprimer sur un sujet que beaucoup préfèrent éviter. Le voici se livrant comme il ne l'avait peut-être jamais fait, et transmettant une parole à la fois humble et hardie.
Il n'a pas la prétention de délivrer un «message» sur l'après-vie, ni d'élaborer un discours dogmatique, mais il témoigne d'une vision de la «vie ouverte». Une vision en mouvement ascendant qui renverse notre perception de l'existence humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre mort.
Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait participer à une grande Aventure en devenir.