Comme l'or purifié par le feu : Edith Stein, 1891-1942

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : XVIII-236 pages
Poids : 363 g
Dimensions : 14cm X 23cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-204-09570-9
EAN : 9782204095709

Comme l'or purifié par le feu

Edith Stein, 1891-1942

de

chez Cerf

Collection(s) : L'histoire à vif

Paru le | Broché XVIII-236 pages

Tout public

22.00 Indisponible

préface Didier-Marie Golay, Christian Chabanis, H.-I. Marrou


Quatrième de couverture

« Tu ouvriras ce petit livre, lecteur, avec respect : ce n'est pas une oeuvre " d'art " qu'on puisse apprécier en usant des critères habituels à la littérature, mais un témoignage qui doit se lire comme nous lisons les Actes des plus anciens martyrs, ces textes tout proches de la vie où nous allons recueillir - comme leurs contemporains ont recueilli leur sang - le message exemplaire de ces héros de la Grâce.
On trouvera ici le même accent d'authenticité, la même fidélité rigoureuse à la vérité : cette oeuvre de piété et d'amour est aussi, est d'abord, un livre d'histoire. La plume d'Élisabeth de Miribel, qui nous retrace la vie et l'âme de soeur Bénédicte de la Croix, a su répondre à l'exigence impérieuse qu'impose à l'hagiographe la mentalité de notre temps : être vrai, ne rien ajouter au réel, ni rien en retrancher, nous mettre en contact avec l'humanité totale du Saint... L'un des grands mérites de cette biographie me paraît être justement d'être intervenue à temps pour couper court à la légende Edith Stein qui n'aurait pas manqué de se développer - les symptômes se percevaient déjà - non sans altérer et ternir le rayonnement de cette pure mémoire. »
Henri-Irénée Marrou.

Biographie

Arrière-petite-fille de Mac-Mahon, Élisabeth de Miribel (1915-2005) appartient à une famille de tradition catholique et militaire. Après un engagement dans les mouvements sociaux d'inspiration chrétienne, elle rejoint la Résistance française à Londres, au début de la Seconde Guerre mondiale, et devient la secrétaire du général de Gaulle. En 1942, le général l'envoie au Québec, où il la charge de rallier les Canadiens à la cause de la France libre. Elle devient ensuite correspondante de guerre, notamment en Italie. Proche des milieux thomistes, en particulier de Jacques Maritain et de son entourage, elle écrit cet ouvrage pendant sa vie religieuse au Carmel de 1949 jusqu'à 1954. Elle rejoint ensuite le Quai d'Orsay, est nommée au Maroc, au Chili, en Autriche, et termine sa carrière comme consule générale de France à Florence.