Paru le 04/12/2014 | Broché 328 pages
Comme un feu de braises ou le drame de la solitude
Le monde moderne offre tout un panel de moyens de communication de plus en plus technologiques, et paradoxalement un nombre grandissant de personnes souffrant de solitude, de dépression, ne cesse de grandir. La course au matérialisme, aux plaisirs, au rendement, à la gloire, engendrant de l'individualisme, de l'égoïsme, en sont aussi une des causes principales. L'absence de repères, d'amour, de partage des richesses, les souffrances au travail, le chaos social, se traduisent par un mal de vivre profond, des suicides par milliers sans que les politiques s'en préoccupent tandis qu'ils s'acharnent mécaniquement à faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'Etat et en prétendant vouloir zéro mort sur les routes. Preuve de leur mercantilisme.
Profitant de la situation, les laboratoires et le corps médical font des recettes mirobolantes avec les psychotropes comme d'autres firmes licites ou illicites avec d'autres produits, et des petits malins, y compris depuis l'Afrique, abusent de la détresse de personnes seules en les spoliant à l'aide d'internet... Que de démences !
S'inspirant de l'exemple de Goethe dont l'oeuvre s'enracine dans la fusion de deux éléments distincts : la poésie et la vérité (Dichtung und Wahrheit), Bernard Duneau unit dans son roman l'idéal et la réalité. A cet effet, il s'est assuré le concours de Marie-Claude Lacube, auteur de poèmes appréciés.
Le récit repose sur des faits réels. Il met l'accent sur les troubles de la société actuelle, en particulier le drame de la solitude (veuvage, divorce, célibat) et même si des personnes ont fait le choix de vivre seules pour diverses raisons.
L'histoire se situe principalement dans le Velay et le Vivarais.
