Commentaires sur l'Evangile de Thomas : extrait des entretiens de Marsanne 2003, 2005, 2008, 2010

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 191 pages
Poids : 235 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-86316-257-6
EAN : 9782863162576

Commentaires sur l'Evangile de Thomas

extrait des entretiens de Marsanne 2003, 2005, 2008, 2010

de

chez Accarias-L'Originel

Paru le | Broché 191 pages

Public motivé

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traduction et préface de Anasuya


Quatrième de couverture

Découvert par hasard vers 1945 en Haute Égypte, le prestigieux Évangile selon Thomas date du IVe siècle. Cet écrit est composé de 114 « logia » ou dits de Jésus, qui révèlent que le Royaume est déjà présent en chacun de nous contrairement aux Évangiles canoniques. Très différent de ceux-ci, ce magnifique texte qui fait de Jésus un gnostique nous invite à une découverte par nous-même de nous-même, le Vivant, qui est notre réalité. Les gnostiques insistent sur la primauté de l'expérience immédiate individuelle.

Émile Gillabert, dont la traduction des logia est reprise ici, s'est particulièrement passionné pour L'Évangile selon Thomas. Il constatait qu'en Orient il existait de très nombreux textes non dualistes qui font défaut en Occident. La découverte de ce texte fournissait la preuve que Jésus avait prononcé des paroles non dualistes témoignant du même éveil que les grands sages d'Orient. Il a fondé l'association Metanoïa dont le but est d'approfondir et de faire connaître L'Évangile de Thomas.

Quelques décennies plus tard, l'association Metanoïa eut la bonne inspiration d'inviter Karl Renz à quatre reprises. Ce livre rapporte l'essentiel de ces commentaires. Les paroles spontanées de Karl - telle une toile d'araignée qui se tisse et se resserre - s'emparent de celui qui s'expose pour lui bloquer toute issue. Un écho non duel et non conventionnel de la gnose véritable.

« Il nous faut, comme nous y invite Jésus, nous dépouiller de tout vêtement personnel. La nécessité de cet abandon est soulignée d'un bout à l'autre des 114 logia », souligne Émile Gillabert, rejoignant ainsi Karl : « Cela, c'est la nudité absolue. Et cela, c'est Jésus. »