traduit de l'italien par Jean-Claude Berger
Quatrième de
couverture
G. Orelli évoque sa première expérience de la cruauté, lorsque, enfant, il tue en jeu sa première grenouille. C'est guidé par ce souvenir et le comparant aux crimes moins innocents des adultes qu'il entame ce recueil où défilent toutes sortes de figures batraciennes, terrestres ou aquatiques, bourreaux ou victimes, antiques ou modernes.