Paru le 01/01/2002 | Broché 95 pages
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L'histoire du mouvement étudiant algérien se lit comme la chronique d'une répression achevée. Il y a trente et un an, le 15 janvier 1971, le pouvoir algérien mettait fin à l'expérience du syndicalisme étudiant.
L'Algérie est à l'heure des mouvements sociaux. Il fût constamment débattu du mouvement étudiant depuis 1971 sans qu'on éprouvât le souci de connaître son identité.
Dans un pays où l'enjeu politique institutionnalisé (pouvoir-opposition) impose à chacun son rôle dans la passivité généralisée, il faut porter l'histoire à la critique publique.
Puissent ces matériaux de réflexion infléchir notre lutte dans le sens d'un attachement au combat pour la démocratie.
Diplômé de psychologie (Université de Paris-Nanterre) et d'esthétique (Université Paris Sorbonne), Mansour Abrous, né le 23 septembre 1956 à Tizi Ouzou, a enseigné à l'Ecole Supérieure des Beaux-Arts d'Alger. Il est l'auteur du «Dictionnaire des artistes algériens» (Casbah Editions Alger 2002).