traduit en grec par Constantin Kaïtéris | encres Christos Santamouris | calligraphies Henri Renoux
Quatrième de
couverture
Pourquoi les Cyclades ? Parce que ces îles emmènent le narrateur au plus loin de lui en même temps qu'elles ébauchent, entre leurs flancs arides, un possible chemin vers l'essentiel, vers le plus intime.