Daredevil : l'intégrale. Vol. 1. 1964-1965

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Poids : 922 g
Dimensions : 18cm X 27cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8094-3892-5
EAN : 9782809438925

1964-1965

de ,

chez Panini comics

Serie : Daredevil : l'intégrale. Vol 1

Collection(s) : Marvel

Paru le | Relié sous jaquette

36.00 Indisponible

dessin Bill Everett, Joe Orlando, Bob Powell, Jack Kirby | couleur et reconstruction Richard Howell | traduction Laurence Belingard, Nicole Duclos


Quatrième de couverture

Exposé par accident à des déchets radioactifs, le jeune Matt Murdock perd la vue. Mais ses autres sens se développent alors et il acquiert un sens radar qui l'avertit du moindre danger. Lorsque son père est tué par des truands, il décide de venger sa mort sous le costume de Daredevil et de consacrer sa vie à combattre le crime.

Créé par Stan Lee, Bill Everett et Jack Kirby, Daredevil surfe sur la vague du succès de Spider-Man. À ses débuts, l'Homme sans Peur a du mal à trouver son identité. Mais il devient au fil du temps un héros culte dont les aventures légendaires, signées Frank Miller, Ann Nocenti, Kevin Smith et bien d'autres, marqueront à jamais l'histoire des comics.

Entre 1964 et 1965, la série Daredevil est bimestrielle et est réalisée par les plus grands artistes du moment dont son cocréateur Bill Everett, mais aussi Joe Orlando, Bill Powell et Wally Wood. Les onze premiers numéros rassemblés dans ce volume nous montrent un héros encore en devenir. Daredevil change de costume à partir du septième épisode où on le voit affronter Namor dans une de ses plus célèbre aventures.

Biographie

Matt Murdock a perdu la vue lorsqu'il était enfant. Mais il possède une ouïe, un odorat, une force et une agilité particulièrement développés. Et même s'il est plongé dans les ténèbres, son sens radar lui signale le moindre obstacle. Avocat le jour, il devient justicier la nuit et combat le crime sous le costume de Daredevil, l'Homme sans Peur.

Avec Jack Kirby et Steve Ditko, Stan Lee donne naissance à l'univers Marvel. C'est au début des années 60 que jaillissent de son imagination débridée des dizaines de héros. Parallèlement à ses fonctions d'auteur, il assure également au sein de la Maison des Idées le rôle de directeur artistique (plus ou moins l'équivalent du rédacteur en chef aujourd'hui), avec l'appui de ses fidèles amis et dessinateurs John Buscema et John Romita Sr. Toujours très actif et prêt à entraîner Marvel vers de nouveaux horizons (Internet, le cinéma). Stan Lee imagine ponctuellement de nouvelles histoires pour la Maison des Idées comme les one-shots anniversaires Stan Lee Meets... et Last Fantastic Four Story illustrés par John Romita Jr. Après avoir réinventé les héros DC dans la mini-série Just Imagine, Lee continue à s'illustrer dans différents domaines médiatiques, de la télévision au dessin animé, à travers des projets très variés.

Bill Everett, légende de l'âge d'or des comics, est célèbre pour avoir donné naissance à Namor, premier super-héros Marvel avec l'androïde surnommé la Torche Humaine, dans les pages de Marvel Comics 1. Dans la seconde moitié des années 60, il revient chez Marvel, d'abord en cocréant Daredevil, puis en mettant en images Hulk et, de nouveau, Namor, tant que sa santé le lui permet. Everett est décédé en 1973.

Wally Wood est une autre figure de l'âge d'or et de l'âge d'argent des comics, un artiste au coup de crayon à la fois raffiné et puissant, qui a travaillé pour de nombreux éditeurs dont EC Comics, aux côtés de son ami et collègue Joe Orlando. Pour Marvel, il a notamment illustré des épisodes de Daredevil (dont celui où le héros adopte son costume rouge actuel) et les premiers numéros d'Astonishing Tales qui met en vedette le Docteur Fatalis. Wood nous a quitté prématurément en 1981.

Son formidable talent et sa capacité à s'adapter ont permis à l'Italien Joe Orlando de se faire une place de choix dans le monde des comics. Il a été scénariste, dessinateur et responsable éditorial notamment chez DC Comics, marquant de son empreinte des titres comme Mad, Creepy et bien d'autres productions. Il a signé l'unique page de Watchmen (le chef-d'oeuvre d'Alan Moore) qui n'a pas été réalisée par Dave Gibbons. Joe Orlando a disparu en 1998.

Du même auteur : Stan Lee