Quatrième de
couverture
Tout ce qui constituait notre existence semble disparaître et conduire à un essoufflement général qui emprisonne la vie. L’individu est pris dans les filets d’un temps qu’il ne maîtrise pas, qu’il ne maîtrise plus, d’une activité qui lui échappe. Tout en lui se trouble, ses mouvements, ses actions, ses pensées, même ses paroles sont perturbées : « Phrases t’aphasient et t’anesthésient »...