Derniers proverbes et expressions du Nord-Pas-de-Calais en patois. Vol. 2

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 204 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 17cm X 23cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36790-054-4
EAN : 9782367900544

Derniers proverbes et expressions du Nord-Pas-de-Calais en patois. Vol. 2

chez Nord Avril

Serie : Proverbes et expressions du Nord-Pas-de-Calais en patois, à lire en s'amusant !. Vol 2

Paru le | Broché 204 pages

14.00 Disponible - Expédié sous 18 jours ouvrés
Ajouter au panier

Quatrième de couverture

Quind l' z'harondelles volent in haut, l'timps i' s'ra biau.

Quand l'z'arondelles volent à tierre, adieu poussière.

Quand les hirondelles volent en haut, le temps sera beau.

Quand les hirondelles volent à terre, adieu poussière (signe de pluie).

Un quien, i s'attaque toudis à ch'ti qui a ses marronnes déquirées.

Un chien s'attaque toujours à celui qui a ses pantalons déchirés.

« C'est toujours aux plus faibles ou aux plus malheureux qu'on s'attaque en premier. C'est toujours le petit qui trinque. »

Quel plaisir de vous présenter : Derniers proverbes et expressions du Nord-Pas-de-Calais en patois illustrés ! Ce travail s'inscrit dans le prolongement du premier livre de Bernard Baralle, auteur, artiste-peintre, poète, sous le titre « Proverbes et Expressions du Nord-Pas-de-Calais en Patois » publié en 2004, jusque 6 900 exemplaires, réédité pour l'occasion !

En 2005, je fréquentais aussi André Accart, auteur, passionné d'histoire et d'identité régionale, amoureux de la langue picarde. Il me remit un tapuscrit contenant des proverbes essentiellement collectés dans l'Artois et alentours. Sachant que j'allais publier l'ouvrage de Bernard, il me dit « -Vous en ferez ce que vous voudrez ». Bernard Baralle les reçut avec curiosité et bonheur.

Lors de mes visites chez lui, Bernard me présentait à partir de 2007, ses pages manuscrites et nous parlions picard. L'idée du titre autour du mot « canter » naissait à partir de nos échanges d'idées, de mes cours de latin au collège et du fait que le patois issu notamment de la langue latine, avait perduré à travers les générations.

Alors, de tout cela, l'auteur poursuivit la restitution, avant que ne surviennent les douloureux événements. Bernard nous quittait en décembre 2007 et André, en mars 2008. En l'espace de trois mois, nous perdions deux enfants de la langue picarde !