Des hommes qui chantent : la bande des cinq

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 216 pages
Poids : 127 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-904201-97-4
EAN : 9782904201974

Des hommes qui chantent

la bande des cinq

chez Wallada

Collection(s) : La merlette moqueuse , Coup de patte

Paru le | Broché 216 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

L'auteur, poète et militant (Amnesty International, Ligue des Droits de l'Homme), a animé près de Fontainebleau un journal local ainsi qu'un club d'Echecs pour les jeunes, activité échiquéenne qu'il poursuit depuis son installation dans les Landes, près de Dax. Devenu visiteur de prison (d'abord à Melun puis à Mont-de-Marsan), il témoigne avec son précédent ouvrage, A l'ombre du dehors, de ses préoccupations humanistes autant qu'humanitaires.

Étés 1976-1977. Voici cinq copains, auteurs-compositeurs-interprètes, qui parlent de leur travail ou plutôt de leur art : Jacques Bertin d'une part, et Jean-Max Brua, Gilles Elbaz, Jean- Luc Juvin, Jean Vasca aujourd'hui disparus.

Ces cinq hommes qui chantent, selon l'expression chère à Félix Leclerc, se retrouvent chez Jean Vasca, avec Jean Lapierre comme médiateur, à Tharaux dans le Gard, pour réfléchir sur la chanson, la poésie et leur métier. Ils sont fiers de leur indépendance et de leur idéal, et ils ont l'objectif commun de créer, défendre, promouvoir, sans se compromettre et avec éthique, une « chanson d'auteur » de qualité largement ignorée par l'industrie du spectacle et donc méconnue du grand public.

Expérience originale presque unique, les « Entretiens de Tharaux » furent enregistrés et le premier transcrit sur papier avec toute sa saveur, truculence et spontanéité. Jacques Bertin à bien voulu confier à l'auteur ce document précieux pour l'histoire d'un genre dit mineur.

Bruno Boulais commente également la carrière de chaque artiste de « la bande » dans une époque où un clivage existait déjà avec le « show-biz ».

Biographie

Wallâda Bint al-Mustakfi, princesse andalouse du XIème siècle, fille du dernier Khalife de Cordoue, fut une grande poétesse aimée d'Ibn Zaydun qui la célébra dans son oeuvre.
La racine de son nom, en arabe, signifie « naissance ». Symboliquement, celle qui met au monde, qui favorise. Elle recevait l'élite intellectuelle de l'Europe, vêtue d'une tunique blanche sur laquelle était brodé en lettres d'or : « Je suis capable de grandes choses et je poursuis mon chemin altièrement. » Figure de proue de l'occident médiéval autant que de l'orient, première femme libre saluée par les féministes contemporaines, son rayonnement perdure et fascine, comme la brillance de ces étoiles qui nous parvient encore à travers le temps.