Dictionnaire de littérature à l'usage des snobs et surtout de ceux qui ne le sont pas : lexique indispensable de connaissance littéraire pointue

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 222 pages
Poids : 353 g
Dimensions : 15cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35012-149-9
EAN : 9782350121499

Dictionnaire de littérature à l'usage des snobs et surtout de ceux qui ne le sont pas

lexique indispensable de connaissance littéraire pointue

de

chez Ed. Scali

Paru le | Broché 222 pages

Tout public

22.00 Indisponible

illustrations Alberto Vejarano


Quatrième de couverture

Comment ai-je pu penser que le Club des Longues Moustaches était une association de gays pileux ? Où est situé ce restaurant de l'Algonquin dont on me répète qu'il était le centre du monde au début du XXe siècle ? D'où sortent ce baron Corvo et ce Zo d'Axa ? Suis-je tenu de relire l'intégrale des colloques de Cerisy, de me mettre à la post-poésie et à la littérature agénérique ? Pourquoi les Crosby sont-ils jugés beaucoup plus importants que les Fitzgerald ? Dois-je lire ce mystérieux B. Traven dont on m'assure qu'il surpasse Conrad et London ? Suis-je vraiment un idiot de croire que la Paris Review est un guide touristique consacré à la Ville Lumière ? Jean de La Ville de Miremont est-il le plus grand écrivain français du XXe siècle, comme on me l'affirme dans les dîners ? Qui est cet André Blanchard, de Vesoul, qui provoque crises de spasmophilie à la seule évocation de son nom ? Quel est le prix littéraire le plus déjanté ? Pourquoi devrais-je prêter attention aux journaux du défunt Matthieu Galey ? Suis-je obligé d'aller acheter mes livres à Tours, place Grand-Marché ?

Ce lexique indispensable de connaissance littéraire pointue s'adresse à tous ceux qui soupçonnent l'existence d'un autre monde derrière les grandes figures imposées. Entre seconds couteaux ignorés ou oubliés, figures de dandy vénérées, personnages pittoresques, us et coutumes d'une secte étrange, ce dictionnaire d'un genre inédit est un remarquable voyage à travers la littérature. Et confirme le mot de Schnitzler selon lequel le snob a en général raison.

Du même auteur : Fabrice Gaignault