Quatrième de
couverture
1.600 mots échappent à l'analyse traditionnelle qui postule, d'une part, la comparaison des formes romanes, d'autre part, l'analyse géo-historique des mots purement français. L'auteur propose pour ces mots un troisième modèle postulant la survivance et la génération de formes latines spécifiques de l'aire gallo-romane.