Dictionnaire généalogique des habitant du district de Mont-Saint-Aubert : province de Hainaut : 1890 à 1910

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 121 pages
Poids : 500 g
Dimensions : 21cm X 30cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84766-613-7
EAN : 9782847666137

Dictionnaire généalogique des habitant du district de Mont-Saint-Aubert

province de Hainaut
1890 à 1910

de

chez Ed. généalogiques de la Voûte

Paru le | Broché 121 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Le Mont-Saint-Aubert est appelé aussi Mont de la Trinité à cause du pèlerinage connu depuis le XIVème siècle. La seigneurie principale de Mont-Saint-Aubert appartient, au XVIIIème siècle, aux de Croy et aux de Hamal. Cependant, on y dénombre une dizaine d'autres seigneuries ; signalons celles du Carnoy, de le Plancque, de Bourgies, qui est la propriété du chapitre Notre-Dame de Tournai, de Crèvecoeur, possession de l'abbaye Saint-Martin de cette ville, de Dieffle, de Loymont, de Ruwez, de Bourdeaux-Maret, du Monchaux, de la Mouillerie, aux mains d'Antoine de Ligne en 1523, qui s'étend aussi sur Kain, et celle du hameau de Laignies qui se prolonge sur Mourcourt. On connaît également les fiefs de Rinval et de Ruel, tenus de la Cour féodale de Leuze, et la ferme de Cambry, bien de l'abbaye du Saulchoir jusqu'à la Révolution française. Cette petite commune ne possède que 29 feux en 1406 et 37 en 1560. Sa superficie agricole n'a pour ainsi dire pas changé de 1834 (767 ha) à 1959 (723 ha). Elle occupe 80 % de la surface cadastrale (891 ha) et est principalement livrée aux céréales (333 ha en 1959) et aux prairies qui n'ont cessé de croître de 1895 à 1959 (195 ha cette dernière année) et dont l'existence se justifie par la pâture de nombreuses têtes de bétail (607 bovidés en 1950). Mont-Saint-Aubert ne semble pas, depuis le siècle passé, avoir connu simultanément plus d'une entreprise d'au moins cinq personnes.

Biographie

Gérard Jeance, généalogiste amateur depuis près de 20 ans, je suis natif de Tournai, d'un grand père Normand. C'est d'ailleurs ce qui a conditionné cette recherche de mes origines...

Quoiqu'il en soit c'est d'abord par une recherche de mes ascendants que j'ai débuté. Bientôt j'ai du établir des descendances puis réaliser les tables, puis établir des relevés et enfin écrire la monographie de ces villages...

Bref : l'enchaînement classique qui mène les généalogistes amateurs de leurs parents à l'Histoire en passant par l'histoire locale...

J'ai été beaucoup aidé et épaulé par quelques passionnés qui partagent les mêmes goûts et qui se sont spécialisés dans les villages voisins.