Ecole et familles : une approche sociologique

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 133 pages
Poids : 170 g
Dimensions : 15cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8041-9645-5
EAN : 9782804196455

Ecole et familles

une approche sociologique

de

chez De Boeck

Collection(s) : Le point sur...

Paru le | Broché 133 pages

Public motivé

20.80 Indisponible

Quatrième de couverture

École et familles

Aujourd'hui, les enseignants et les parents sont des « partenaires ». Tel est du moins le discours officiel. Dans les faits, cette évolution de la relation entre école et familles vers une plus grande proximité ne va pas de soi. Les enseignants sont-ils tous prêts à ouvrir leur classe ? Les parents sont-ils tous compétents pour participer selon les attentes de l'école ? La collaboration avec l'école réduit-elle les inégalités sociales entre parents ou l'accentue-t-elle ?

Cet ouvrage se propose de faire le point sur la relation entre école et familles, à partir d'enquêtes sociologiques, à la fois classiques et récentes. Il en éclaire les principaux aspects : partage des rôles, représentations réciproques, relations de pouvoir, stratégies de communication.

Ce livre constitue un outil de réflexion pour tous les acteurs impliqués dans la relation école-familles. Il est tout particulièrement destiné aux enseignants et aux responsables scolaires, en formation ou en activité, qui cherchent à nourrir leurs pratiques des acquis de la recherche.

Biographie

Jean-Paul Payet
Sociologue de l'éducation, Jean-Paul Payet est professeur à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève. Il a mené de nombreuses enquêtes sur l'école en milieu disqualifié, dans différents contextes nationaux (France, Suisse, Afrique du Sud, Tunisie). Avec son équipe de recherche (SATIE), il développe une analyse de l'agir professionnel attentive à la pluralité des mondes scolaires et socio-éducatifs (Ethnographie de l'école, PUR, 2016). Ses travaux s'inscrivent plus largement dans une réflexion sur la reconnaissance des « acteurs faibles » dans les institutions contemporaines.