Quatrième de
couverture
A lire de près les textes de Barbusse ou de Rolland, de Giono ou de Guilloux, parmi d'autres, force est de constater qu'ils sont marqués par les mêmes failles : comment communiquer l'horreur du carnage, comment dénoncer le scandale de la guerre, la violence de chacun ? Et si la guerre n'est que le versant horrible d'une réalité bourgeoise déjà intolérable en soi, à quoi bon décrier l'hétacombe ?