Quatrième de
couverture
Si Rodanski s'ancre dans le mouvement surréaliste, c'est pour lui échapper bientôt, consommé par une impatience plus grande et par une expérience plus violente. Les fantômes des années cinquante, qu'il croise et disperse, sa lucidité devant l'immobilisation de son expérience, tout cela fait de lui, le descendant d'une lignée spirituelle qui commence avec Nerval.