Egalité des sexes : la discrimination positive en question : une analyse comparative (France, Japon, Union européenne et Etats-Unis)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 344 pages
Poids : 572 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782908199475

Egalité des sexes

la discrimination positive en question
une analyse comparative (France, Japon, Union européenne et Etats-Unis)

chez Société de législation comparée

Paru le | Broché 344 pages

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avant-propos David Capitant | édition Gender law and policy center ; Société de législation comparée


Quatrième de couverture

Égalité des sexes : la discrimination positive en question - Une analyse comparative (France, Japon, Union Européenne, États-Unis) fut d'abord le titre d'une conférence, organisée le 16 septembre 2005 dans les locaux de la Cour administrative d'appel de Paris, par le Gender Law and Policy Center de l'Université de Tohoku (Sendai, Japon) et la Société de Législation Comparée. Sous le même titre, le présent ouvrage rassemble tout d'abord les interventions faites à cette occasion, auxquelles viennent s'adjoindre de nouvelles contributions, ainsi que des documents présentés en annexe.

La question, multiforme, de l'égalité des sexes, est ici posée à partir d'une réflexion comparative portant plus spécifiquement sur les mesures si controversées de «discrimination positive», «positive action», ou «affirmative action». Au nom de quels principes justifier des politiques dont l'objet reste de favoriser, dans les faits, le progrès de l'égalité, et dans quelle mesure ce type de mesures permet-il de rendre effective une égalité des sexes posée en principe constitutionnel, mais inachevée en pratique ? Ce double questionnement, traversé en outre par une incertitude d'ordre terminologique, vient enrichir la réflexion sur les enjeux dont sont porteuses ces notions et ouvre le débat sur de plus larges perspectives.

Biographie

Danièle Lochak est professeure à l'Université de Paris X-Nanterre. Directrice de l'École doctorale de sciences juridiques et politiques, elle est également responsable du Master recherche spécialité «Droits de l'homme», et dirige le CREDOF (Centre de recherches et d'études sur les droits fondamentaux).

Miyoko Tsujimura est professeure de droit constitutionnel à la Law School de l'Université de Tohoku, où elle enseigne également le droit du genre. Elle dirige le Gender Law and Policy Center de cette même université. Membre du Conseil scientifique du Japon, elle participe aux travaux du Bureau de l'Égalité du genre, au sein du Cabinet du Premier ministre.