En mission au Nordeste du Brésil, 1964-2002 : au temps de dom Helder Camara : une expérience socio-pastorale

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 186 pages
Poids : 270 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782747593724

En mission au Nordeste du Brésil, 1964-2002

au temps de dom Helder Camara
une expérience socio-pastorale

de

chez L'Harmattan

Collection(s) : Chrétiens autrement

Paru le | Broché 186 pages

Public motivé

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préface Richard Marin


Quatrième de couverture

En mission au nordeste du Brésil 1964-2002

Le père Joseph Servat, né en 1922 dans la montagne ariégeoise, est devenu prêtre du diocèse de Pamiers le 29 juin 1947. Pendant dix-sept ans, il est resté au service de son diocèse, en paroisse et comme aumônier diocésain de l'Action Catholique Rurale. Se sentant appelé depuis sa jeunesse à une action plus missionnaire là où l'Église aurait besoin de lui, il a accepté en 1964, de se mettre, comme prêtre fidei donum, au service de l'Amérique latine et en particulier des populations rurales du Nordeste du Brésil.

Dom Helder Camara, l'archevêque prophète de Recife, l'a engagé à Rome, lors du Concile Vatican II, pour participer à l'organisation, dans l'immense Brésil, d'un mouvement d'Action Catholique surtout adulte (ACR) et d'une action pastorale insérée dans les diverses situations économiques et sociales de l'époque. Ce sera pour le père Servat l'occasion de découvrir et de vivre concrètement « l'option préférentielle avec les plus pauvres » et « l'évangélisation libératrice » des masses paysannes maintenues dans la misère.

Biographie

Joseph Servat a aussi participé activement à diverses expériences : l'émergence de nouveaux ministères, la formation des séminaristes et religieux vécue au contact des pauvres, l'accompagnement des laïques et des aumôniers dans le milieu rural et enfin la vie paroissiale quand, après Dom Helder, « l'option préférentielle avec les plus pauvres » est devenue plus difficile dans l'Église de Recife.
À quatre-vingt ans, après trente-huit ans de service au Nordeste brésilien, malade, il a jugé préférable de retourner en France, auprès de sa famille.