Enrico Metz rentre chez lui

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 211 pages
Poids : 280 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915018-25-7
EAN : 9782915018257

Enrico Metz rentre chez lui

de

chez Quidam éditeur

Collection(s) : Made in Europe

Paru le | Broché 211 pages

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traduit de l'italien par Marguerite Pozzoli


Quatrième de couverture

Enrico Metz rentre chez lui

Enrico Metz, avocat de renom, voit s'écrouler le pouvoir et les affaires qu'il partageait avec un homme ingénieux, Marani, englouti dans un naufrage financier « destiné à être cité durant des décennies dans les manuels d'économie du monde entier ».

Cherchant le calme après la tempête, il quitte Milan pour se réinstaller dans sa ville natale et entame alors sa métamorphose. À mesure que le temps qui lui reste se rétrécit, il sélectionne, trie. À la manière d'un Oblomov, Metz « entre en clandestinité » et, contre la vie qui presse de toutes parts, choisit le détachement, l'honnête dissimulation, la lenteur. « Je raconte une libération et une découverte, banale, si l'on veut : toute une existence peut s'exprimer dans un monde minuscule », dit Claudio Piersanti.

D'une écriture dépouillée et méticuleuse, l'écrivain italien livre là son roman le plus achevé, en dressant le portrait d'un homme et d'une époque - les années Tangentopoli et les puissants de la finance -, sans moralisme ni concession.

« C'est comme si Piersanti avait écrit deux destins celui d'une petite ville retranchée derrière ses rituels, et celui d'un homme génial qui a d'abord su vaincre, avant de savoir perdre » Andrea Di Consoli, l'Unità

« Le style et le contenu de ce récit sont mis au service du vrai livre que Piersanti a écrit, et qui est un roman politique » Pier Damiano Ori, Liberazione

« Enrico Metz, héros lumineux de ce nouveau roman, l'assemble en lui toutes les figures provinciales précédentes de Claudio Piersanti , mais il se présente - puis se confirme - comme le résumé, très italien, de certains glands noms de la littérature mondiale du XXe siècle, un peu Herzog, un peu Stiller, un peu Humbert Humbert et un peu von Aschenbach, condensant les illusions, puis les amères déceptions, d'un siècle arriviste, souvent victime d'un excès d'ambition, phagocyté par ses propres frénésies » Sergio Pent, L'Indice.

Du même auteur : Claudio Piersanti