poèmes
Quatrième de
couverture
Des poèmes brefs, proches du haiku japonais. Pour mieux se dire, saisir l’'entrevoix du monde au milieu du concert assourdissant de notre silence. Saisir des bribes de mots, à peine plus audibles que le souffle de la nuit. Mais au moins saisir quelque chose de plus assuré que notre présence au monde sans cesse mitoyenne du gouffre.