traduit du latin et présenté par Dominique Noguez
Quatrième de
couverture
Sans porter de jugement, ni jouer au moraliste, Martial voulait que ses épigrammes reflètent la vie quotidienne à Rome, ce qu'il parvint à faire grâce à une verdeur et un réalisme inusités à l'époque. La traduction de D. Noguez, plus soucieuse de fidélité à l'esprit que de littéralité, fait ressortir son mépris pour les normes morales, ainsi que sa liberté de ton et la souplesse de la langue.