Et quelquefois j'ai comme une grande idée

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 766 pages
Poids : 1562 g
Dimensions : 17cm X 25cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-38196-010-4
EAN : 9782381960104

Et quelquefois j'ai comme une grande idée

de

chez Monsieur Toussaint Louverture

Paru le | Relié 766 pages

49.50 Indisponible

illustrations Nicolas Badout | traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Antoine Cazé


Quatrième de couverture

Alors que la grève installée à Wakonda étrangle cette petite ville forestière de l'Oregon, un clan de bûcherons, les Stamper, bravent l'autorité du syndicat, la vindicte populaire et la violence d'une nature à la beauté sans limites. Menés par Henry, le patriarche incontrôlable, et son fils, l'indestructible Hank, les Stamper serrent les rang... Mais c'est sans compter sur le retour, après des années d'absence, de Lee, le cadet introverti et toujours plongé dans les livres, dont le seul dessein est d'assouvir une vengeance. Au-delà des rivalités et des amitiés, de la haine et de l'amour, Ken Kesey [1935-2001], auteur légendaire de Vol au-dessus d'un nid de coucou, réussit à bâtir un roman époustouflant qui nous entraîne aux fondements des relations humaines. C'est Faulkner. C'est Dos Passos. C'est Truman Capote et Tom Wolfe. C'est un chef-d'oeuvre.

Biographie

Né en 1935 dans le Colorado, Kenneth Elton Kesey a grandi dans le nord-ouest des États-Unis, en Oregon. Athlétique, celui qui a un faux air de Paul Newman est aussi un spécialiste de la lutte gréco- romaine, discipline dans laquelle il a bien failli représenter son pays aux Jeux Olympiques de 1960. Il arrive dans la baie de San Francisco en 1956 avec une bourse pour l'université de Stanford. Là, l'hôpital pour anciens combattants de Menlo Park recrute des volontaires pour tester des substances hallucinogènes. Ken Kesey y découvre le LSD, le peyotl, la mescaline. Il écrit le roman qui va le rendre célèbre, Vol au-dessus d'un nid de coucou, en 1962. Grâce à ce best-seller, il achète une maison près de La Honda où il termine un second roman, qu'il considère comme son chef-d'oeuvre, Et quelquefois j'ai comme une grande idée, qui paraît en 1964. Il décède en 2001.