Fanion bleu jonquille : carnet de campagne d'un chasseur de Driant : 1914-1918

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 300 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-914874-47-2
EAN : 9782914874472

Fanion bleu jonquille

carnet de campagne d'un chasseur de Driant
1914-1918

de

chez les Ed. d'Héligoland

Collection(s) : Grande guerre 14-18

Paru le | Broché 300 pages

Tout public

25.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Initiée avec La dernière lettre écrite par des soldats français tombés au champ d'honneur, la collection "Grande Guerre" rassemble des textes d'époque, rédigés par des soldats, sous-officiers ou officiers de la Première Guerre Mondiale.

Rédigés il y a près d'un siècle par ceux qui avaient gagné le droit d'en parler, par leur sang versé, ces textes n'ont pas subi la déformation d'un XXe siècle médiocre. Mémoire collective d'une Nation en armes, les livres de la collection "Grande Guerre" publiés par les Éditions d'Héligoland détonnent dans une société qui prône - presque toujours par lâcheté - l'humanisme, le cosmopolitisme, la religion des droits-de-l'homme et la fin des Nations.

Ils étaient ouvriers, instituteurs, médecins, paysans, militaires...

Ils étaient enfants, pères, frères ou pupilles de l'Assistance Publique...

Ils étaient soldats, sous-officiers ou officiers.

Tous sont allés au-devant d'une mort certaine, dont l'horreur jonchait leurs tranchées. Et à leurs derniers instants, tous ont écrit aux êtres qu'ils aimaient le plus que leur sacrifice n'était pas vain, puisqu'ils "tombaient pour la France"...

Ceux qui en sont revenus, poussés par une fidélité sans faille à leurs frères d'arme, n'ont eu de cesse de défendre la mémoire de leur sacrifice, jamais considéré comme inutile car librement consenti pour la Patrie...

L'émotion qui naît de ces lettres s'accompagne d'une gêne indicible : qu'avons nous fait de cette terre imbibée de sang et de douleurs pour qu'aujourd'hui le mot "nationaliste" soit une insulte ?

Ces textes, exhumés d'un passé il ne reste plus aucun témoin vivant encore, retentissent dans le présent comme autant de réquisitoires...