Fréquence théâtre, n° 30. Casanova's babies. Sourire de chien. L'âme seule

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 70 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 17cm X 25cm
Date de parution :
EAN : 9780125007917

Casanova's babies

de

chez Ed. de la Traverse

Serie : Fréquence théâtre. Vol 30

Paru le | Broché 70 pages

Revue
10.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Casanova's babies

(1 homme, 2 femmes)

Taraudé par le désir d'être père, un Casanova moderne achète les services de Rébecca, mère-porteuse professionnelle. L'affaire se présente bien, Rébecca tombe enceinte dès leur premier (et unique) rapport. Mais un fait inouï vient perturber ses projets: il tombe amoureux d'une vendeuse de glaces, Christina, qui ne tarde pas à attendre, à son tour, un enfant de lui. Notre dragueur impénitent, cadenassé au piège de l'amour, ne peut plus revenir en arrière. La machine infernale est lancée par deux femmes beaucoup plus perverses qu'elles n'en ont l'air.

Une comédie inattendue, aux multiples rebondissements, dont ni l'homme ni la (les) femme(s) ne sortent glorieux. Pauvres babies!

Sourire de chien

(2 hommes, 3 femmes)

Parce sa mère l'a abandonné pour se jeter dans les bras d'un pompier, Henri, le jeune homme au sourire de chien, veut louer une chambre dans l'appartement où vivent Gwladys et Pépé, sa soeur cadette. Gwladys lui propose un marché: elle accepte de lui céder une chambre sous réserve qu'il lui rende quelques «petits services» pour lui permettre de devenir une star de la chanson. Henri accepte, secrètement amoureux de Pépé, romancière hystérique et parfaitement inconnue. Une tempête d'événements imprévisibles secoue tout ce petit monde de joyeux ratés.

L'Âme seule

(1 femme ou, pourquoi pas, 1 homme)

Seule, assise à une table de bistrot, une femme encore jeune confie au public des «trucs incroyables»: ses amours tumultueuses avec un hypothétique David. On meuble comme on peut le vide de son existence...

Ce monologue surprenant, entre farce et tragédie, caricature sans complexe toutes nos frustrations et pointe du doigt le plus grand mal de ce siècle: la solitude.

Du même auteur : Jean-Claude Danaud