édition René Sieffert
Quatrième de
couverture
Si le haïkaï est d'abord une intuition qui se traduit par un jaillissement verbal, il convient ensuite de la polir et de l'ordonner en séquences cohérentes, en particulier sous forme de "kasen", qui sont des suites de trente-six versets, de trois vers chacun, composés par les poètes qui se répondent ainsi les uns aux autres.