Friedkin connection : les mémoires d'un cinéaste de légende

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 634 pages
Poids : 772 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7324-6601-9
EAN : 9782732466019

Friedkin connection

les mémoires d'un cinéaste de légende

de

chez La Martinière

Paru le | Broché 634 pages

Tout public

25.00 Indisponible

traduit de l'anglais (américain) par Florent Loulendo


Quatrième de couverture

«Orson Welles a déclaré que faire un film, c'était comme jouer avec le plus gros train électrique qu'un gamin ait jamais eu. C'est littéralement ce qui s'est passé sur le tournage de French Connection. Certaines des choses que j'ai faites n'auraient jamais pu recevoir l'aval d'un studio. J'ai mis des vies en danger. Je le dis avec plus de honte que de fierté car aucun film ne vaut la peine de prendre ce genre de risques. Ceci étant dit, le niveau de danger atteint sur French Connection était le plus élevé possible. Si quelqu'un avait été blessé - ou tué -, je serais en train d'écrire ce livre dans une cellule de prison.»

Comment peut-on à la fois petit-déjeuner avec un parrain de la Mafia et collaborer avec un prix Nobel de littérature ? Ne pas hésiter à gifler ses acteurs pour les mettre dans l'état émotionnel voulu et sauver un condamné à mort grâce à un documentaire ? Envoyer un homme armé afin qu'il récupère les copies pirates d'un film et diriger des opéras dans les salles les plus prestigieuses d'Europe et d'Amérique ?

Cinéaste de l'excès, véritable tête brûlée sur les plateaux et en dehors, William Friedkin a toujours nourri deux obsessions : mettre en scène l'ambivalence des êtres humains et atteindre la perfection cinématographique, quoi qu'il en coûte. Gloire, disgrâce, renaissance, il semble avoir tout connu. Et il le raconte dans cette autobiographie sans concession qui se lit comme un thriller.

Biographie

Né en 1935 à Chicago, William Friedkin est réalisateur, scénariste et producteur de films. French Connection (1971, cinq Oscars en 1972) et L'Exorciste (1973) sont considérés comme des classiques du cinéma américain, des oeuvres emblématiques du «Nouvel Hollywood». En 2012, il fait un retour remarqué avec Killer Joe. En 2013, il reçoit à la Mostra de Venise un Lion d'or pour l'ensemble de sa carrière.