Géopolitique des frontières de la Pologne : les effets de l'adhésion à l'Union européenne et leurs origines historiques

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 365 pages
Poids : 780 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36781-242-7
EAN : 9782367812427

Géopolitique des frontières de la Pologne

les effets de l'adhésion à l'Union européenne et leurs origines historiques

de

chez Presses universitaires de la Méditerranée

Collection(s) : Territoires en mutation

Paru le | Broché 365 pages

Public motivé

36.00 Disponible - Expédié sous 7 jours ouvrés
Ajouter au panier

préface Jean-Pierre Doumenge


Quatrième de couverture

Marquées par une histoire conflictuelle, les frontières de la Pologne ont connu, au cours de l'intégration à l'Union européenne (UE), d'importants changements relatifs à leurs fonctions. Cet ouvrage se propose d'analyser les conséquences géopolitiques de ces changements sur les espaces frontaliers ainsi que sur le territoire polonais, du début du processus d'adhésion à l'UE en 1998, à l'entrée complète dans l'espace Schengen en 2008. Ce travail revient dans un premier temps sur la dimension historique des frontières de la Pologne, caractérisées dans leur ensemble par leur grande instabilité. Ce retour en arrière nous permet de nous interroger, a posteriori, sur la spécificité des faits historiques qui ont marqué de façon durable l'espace polonais et ses frontières. Il propose ensuite une analyse comparative qui s'articule autour de la distinction fonctionnelle des frontières polonaises lors de l'intégration dans l'UE : d'un côté les frontières internes de l'UE « en déconstruction » ; de l'autre les frontières « en reconstruction » sur les nouveaux confins de l'UE. Il tente enfin de faire la synthèse de ce « jeu des frontières » en analysant ses conséquences sur le territoire polonais.

Biographie

Quentin Mackré est docteur en géographie et aménagement de l'espace de l'université Paul-Valéry Montpellier 3, où il a enseigné de 2005 à 2010. Cet ouvrage est issu de sa thèse de doctorat, dirigée par Jean-Pierre Doumenge et Jean-Christophe Gay, soutenue en novembre 2010.