George Daniel de Monfreid : artiste et confident de Gauguin : 1856-1929

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 373 pages
Poids : 1300 g
Dimensions : 21cm X 28cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35551-333-6
EAN : 9782355513336

George Daniel de Monfreid

artiste et confident de Gauguin
1856-1929

de ,

chez Les éditions de l'Officine

Paru le | Relié 373 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

George-Daniel de Nonfreid

Artiste et confident de Gauguin

Né dans les années fastes du Second Empire, d'une ascendance royale demeurée secrète et doté d'un état civil diplomatiquement concocté au sein d'un Consulat Général des Etats-Unis, lui conférant la nationalité américaine, George Daniel de Monfreid Fut néanmoins « un Prince... des Beaux-Arts ».

En effet, il fut le témoin actif et l'un des acteurs majeurs de la fin de l'Académisme en peinture au cours de la seconde moitié du 19e siècle et du début du 20ème siècle, en osmose avec les différentes écoles et tendances : l'Impressionnisme, le Post-Impressionnisme, la division des couleurs (le Pointillisme) et le mouvement des Nabis.

Révélé lors de l'exposition du Café Volpini, concomitante à l'Exposition Universelle de 1889, il côtoya, soit à Paris, soit sur ses terres catalanes au pied du Canigou, la plupart des grands peintres, sculpteurs et écrivains de son époque et notamment Auguste et Henri Matisse, Edgard Degas, Emile Schuffenecher, Louis Valtat, Louis Bausil, Aristide Maillol, Victor Segalen, Emile Bernard et Paul Gauguin « le Maître, le Sauvage, le Tahitien ». Avec ce dernier une amitié indéfectible se noua, George Daniel devenant au fil des années plus que l'ami fidèle, le confident, puis le correspondant assidu après le départ de Gauguin pour les Iles Marquises, avant de devenir son exécuteur testamentaire.

La présente biographie éclaire d'un jour nouveau la personnalité et l'œuvre de George Daniel de Monfreid, toujours discret et soucieux de ne pas défrayer la chronique (contrairement à son fils Henry de Monfreid) et retrace l'itinéraire hors du commun d'un homme que rien ne prédestinait à devenir l'instrument d'une bataille autour de l'œuvre de Gauguin.

L'épigramme de son testament illustre parfaitement son esprit indépendant : « Pourvu qu'après ma mort on trouve quelques bonnes choses de moi et qu'on les juge dignes d'être conservées ».