Georges-Albert Tresch : la randonnée cézanienne

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 199 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 21cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782912544223

Georges-Albert Tresch

la randonnée cézanienne

de ,

chez Mémoire des arts

Paru le | Relié 199 pages

Tout public

43.00 Indisponible

avant-propos d'Edith Clémence Mollier-Tresch | texte Charles-Henri Tresch


Quatrième de couverture

Si, Marius Mermillon se souvient de l'apparition, vers 1919, de Georges Albert Tresch vêtu en capitaine d'artillerie, peut-être au cours d'une de ces chaleureuses réunions du groupe des Ziniars à la Brasserie du Nord ; nous savons que Pierre Combet-Descombes et le capitaine T. comme le nomme Alain dans ses Souvenirs de guerre, entretenait une relation épistolaire, depuis 1916.

Oui ! Georges Albert Tresch fut sans doute celui qui renforça, chez les membres du groupe Ziniars, l'influence de Paul Cézanne. On le sait, le Capitaine T. était capable d'argumenter inlassablement lorsqu'il s'agissait de peinture en général, et de Paul Cézanne en particulier.

Georges Albert Tresch exposa à Paris, dès 1907, ses amis Ziniars présentèrent leurs oeuvres au Salon d'Automne de Lyon, seulement à partir de 1911.

Et puis, souvenons-nous de ce témoignage de Marius Mermillon, dans le Tout Lyon, du 16 mars 1924 : "Nous de la province, ne recevons de Paris que les impulsions tardives, etc.".

Bien d'autres critères que vous découvrirez à la lecture de ce livre, militent pour cette position de leader du capitaine T. au sein du groupe des Ziniars. Son regard sur l'histoire de l'art, son aptitude à l'analyse des maîtres de la modernité : Edouard Manet, Paul Gauguin, Paul Cézanne, Suzanne Valadon, etc. composent une personnalité capable de militer pour l'art moderne avec (dixit Marius Mermillon) intelligence, amour et respect...

Alain Vollerin